visite Chicago

Désolé de rédiger les comptes rendu avec 1 jour de décalage, mais les journées et les soirées sont si remplies qu’il reste peu de temps pour le boulot. A l’heure où j’écris ces quelques lignes, il est 22h50 et nous rentrons de dîner, harassés par notre journée riche en émotion...mais revenons plutôt à la journée du 24 mai dédiée à la visite de Chicago, l’une des villes les plus insécurisées des USA. C’est sous une chaleur accablante que nous nous y sommes rendus, et c’est sous la même chaleur que nous y sommes arrivés (82° Farenheit, soit environ 27° de « chez nous »). Située au bord du Lac Michigan, elle bénéficie d’un micro climat qui rends la chaleur plus supportable. Certaines rues de Chicago sont typiques de ce que l’on s’attends à voir, comme sorties directes des anciens « Polards » américains, très étroites, sombres, des escaliers métalliques le long des façades, des poubelles grises, genre conteneur miniature, éparpillées tout le long de la rue. Le métro aérien qui semble sorti des mêmes films, omniprésent, les sirènes continuelles soit de la police, soit des ambulances ou soit des pompiers, les taxis (il doit y en avoir un par habitant), les rues commerçantes bordées de building...bref un pur plaisir de sentir la véritable amérique. On ne pouvait pas quitter Chicago avant d’être monté au sommet de la tour la plus haute du monde, la Sears Tower qui culmine à 470 m, avec ses terrasses au sommet dont le plancher est en verre, et qui vous donnent l’impression de marcher dans le vide, ni avant d’avoir pris un bol de fraîcheur au bord de cet immense lac de près de 500 kms de long et 200 de large, et surtout ni avant d’être aller dans une fameuse boîte de blues et jazz à l’ambiance année 50 garantie, et discuter avec ces mythiques musiciens blacks tout en sirotant une mousse bien fraîche et dégustant des « Ribs » sauce barcecue jusque tard dans la nuit...

Vous comprenez maintenant pourquoi je suis en décalage???

Bonne nuit à demain!

Phil