samedi 5 juin 2010




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Dernière journée à New Orleans

Voilà, comme dit Johnny: « C’est déjà la fin du voyage »!

Aujourd’hui nous sommes allés faire une balade au point le plus au sud de la Louisiane « Venice » pensant y découvrir de magnifiques plages et au moins un village de bord de mer sympathique...

En fait il s’agit vraiment du point le plus au sud de la Louisiane, mais on ne peut pas aller plus loin. C’est une zone de marécages et de bayous! Le niveau de la route est un poil inférieur à la surface des étangs, ce qui provoque par endroit des débordements et inondations. C’est aussi un endroit où sont concentrées des raffineries de pétrole gigantesques et d’autres activités économiques, mais pas du tout touristiques. Nous avons tout de même fait de superbes photos (j’espère qu’elles le seront) de la flore et de la faune.

Nous avons déjeuner dans le seul fast food du coin, où se retrouvent la plupart des salariés et chauffeurs des boites environnantes... Un vrai relais routier!

Puis en rentrant à New Orleans et avant d’aller à l’hôtel, nous passons par le Garden District, célèbre pour ses maisons antebellum (d'avant la guerre-civile). Contrairement au French quarter dont les jardins en patios ne sont pas visibles de la rue, Garden district, comme son nom l'indique, est fameux pour les jardins qui entourent les maisons de style colonial ou victorien. Les rues sont bordées de vieux chênes et les maisons entourées de plantations d'orangers, de jasmins, de magnolias...

Nous allons ensuite repérer un endroit sympa où dîner et passer un bon moment à écouter de la musique...avant de rentrer sagement à l’hôtel pour une nuit qui sera probablement courte, car nous quittons l’hôtel demain matin à 7h30.

Phil

vendredi 4 juin 2010



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A la rencontre des alligators

Aujourd’hui 3 juin, on a réservé une balade dans les Bayous (forêts marécageuses) en aéroglisseur. Un mini-bus est venu nous chercher à l’hôtel vers 11h. En chemin, nous nous sommes arrêtés sur une plantation de sucre, avec une magnifique demeure style coloniale flanquée en façade de plusieurs majestueux piliers. Dans le parc, il y a des arbres plusieurs fois centenaires ressemblant à de gigantesques saules pleureurs et une habitation plus modeste tout en bois comme il en existe beaucoup en Louisiane.

Puis nous arrivons sur le site d’embarquement, en même temps qu’une pluie qui s’intensifie petit à petit pour devenir une véritable adverse. Il faut savoir que la température est très haute, ainsi que le taux d’humidité. Nous attendons donc que la pluie se calme, puis nous embarquons impatients de vivre cette aventure. L’aéroglisseur est une barque à fonds plat mue par une énorme hélice alimentée par gros bloc moteur 8 cylindres (je les ai comptés). je peux vous dire qu’ après une légère manoeuvre toute en douceur, le temps d’apercevoir le premier alligator, le démarrage a été plutôt vif et surprenant. On comprends mieux la nécessité de porter les casques anti-bruit qui nous ont été remis avant le départ.

Puis c’est la découverte de ces fameux Bayous à la végétation dense et diverse en slalomant entre les cyprès et les jacinthes d’eau, pour nous faire découvrir d’encore plus près la faune et la flore. Puis c’est le moment tant attendu: la rencontre avec les alligators. Notre guide arrête la barque, puis coupe le moteur. Il sort un paquet de marshmallow (chamallows ou guimauves), nous en offre un à chacun (ce qui est sympa!!), puis s’agite au dessus de l’eau, et instantanément c’est un alligator qui se dirige vers nous, puis deux, puis trois...jusqu’à sept. Incroyable il les attire avec des bonbons. Après un petit moment d’hésitation, nous faisons comme lui, et leur lançons des marshmallow, et bientôt tout le groupe nous entoure pour avoir ces friandises (c’est vachement gourmand un alligator!)

Nous reprenons la balade, et à chaque endroit présentant un intérêt particulier, le guide s’arrête pour nous laisser profiter de ces majestueux paysages et nous donner quelques explications.

La balade a duré environ 1h00, et je crois que nous n’oublierons jamais cette aventure. Pourvu que la marée noire qui sévit sur les cotes de Louisiane n’ atteigne pas ou peu cet endroit incroyable, car elle pourrait mettre en péril cet éco système unique, et il faudra plusieurs dizaine d’année avant que l’éco système se reconstitue.

Puis c’est le retour sur New Orleans, sous un orage violent. Aussi brutalement qu’il avait commencé, l’orage s’arrête, et la température redevient étouffante.

Nous n’avons pas encore mangé, et il est pratiquement 16h, nous entrons dans une pizzéria, et dévorons les énormes pizzas à l’américaine (c à d énorme!!).

Rapide tour en ville pour terminer quelques achats, puis retour à l’hôtel. Repos jusqu’à 20h30, puis petite sortie nocturne musicale et incontournable dans le French quarter.

A demain!

Phil

jeudi 3 juin 2010

1ère journée à New Orleans

Aujourd’hui 2 juin, notre 1ère journée sans moto...ce matin nous sommes tous un peu nostalgiques, car c’est malheureusement le début de la fin... Nous prenons donc le tramway pour aller récupérer le véhicule de location. C’est un KIA (sorte de SUV Coréen) 7 places flambant neuf que nous récupérons, et nous partons aussitôt pour l’une des concessions Harley.

Sur la route, nous faisons un crochet par les quartiers qui ont été touchés de plein fouet par l’ouragan « Katarina ». Un bon nombre de maisons sont bien évidemment détruites, d’autres abandonnées, et d’autres encore plus ou moins rafistolées avec les moyens du bord encore habitées.

La concession est, comme beaucoup que nous avons visité, démesurée ( 3 à 4 fois plus grande que la majorité des concessions françaises). N’ayant pas tous trouvé notre bonheur, nous décidons d’aller à la 2ème concession juste après le déjeuner, car il est déjà une heure passée et certains estomacs crient famine. Nous déjeunons dans une sorte de Mac Do spécialisés en beignets de toutes sortes ( crevettes, poulet...) à proximité de la concession que nous envahissons aussitôt notre repas terminé. La tentation est très forte, car il y a énormément d’accessoires et de vêtements introuvables en France, et à des prix très intéressants (-30 à -40% ). Je crois qu’il est nécessaire pour certains d’acheter une deuxième valise.

Il est déjà 16h quand on reprends la route de l’hôtel qui est situé en plein centre ville, à deux pas du « French quater » et de la vie nocturne. Car à New Orleans, comme à Nashville, certaines rues sont fermées pour les véhicules, afin de faciliter les accés aux bars, restaurants, boîtes et autres commerces touristiques ouverts la nuit. Dans ces rues, le soir venu, c’est l’explosion de musique à tous les coins de rue, dans tous les bars et tous les restaurants.

Nous venons de passer une bonne petite soirée au restaurant, puis à déambuler dans les rues endiablées, en s’arrêtant régulièrement pour écouter les groupes qui se succèdent sur les scènes des bars et des restau.

Ce sera tout pour aujourd’hui...bonne nuit pour moi, et bonne journée pour vous!!

Phil

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mercredi 2 juin 2010

Dernière étape

Aujourd’hui 1er juin, notre périple en moto prends fin avec notre dernière étape jusqu’à New Orleans en Louisiane.

Nous avons quitté Port Gibson vers 9h00 à la recherche d’un breakfast que nous avons pris dans la première station service où nous avons fait l’un de nos derniers pleins.

C’est toujours sur la 61 que nous avons rallié Baton Roiuge. Le paysage est très vallonné et verdoyant. Les maisons spacieuses typiques de la Louisiane commencent à apparaître avec leurs grands piliers blancs en façade. C’est aussi dans les environs de Baton Rouge que se situent les plus grandes et plus belles plantations de canne à sucre dont une, celle de Oak Alley qui est la plus photograpiée de Louisiane. Tout au long de cette interminable route, nous assistons de temps à autres au déjeuner de petits vautours fait de cadavres de biches renversées pendant la nuit, probablement aveuglées par les véhicules circulant à vive allure, et notamment les gros semi . C’est donc à Baton Rouge que nous déjeunons dans une sorte de cafétéria dans laquelle bien évidemment nous nous faisons remarqué, et aussi rencontrons des personnes sympa et conviviales, comme la serveuse, le caissier ou des policiers.

Au fur et à mesure que nous approchons de New Orleans, il y a de plus de plus en plus de marais au milieu desquels sont plantés des arbres délabrés dont il ne reste plus que le tronc pour certains. C’est triste et en même temps beau car trés typique de cette région.

La chaleur est accablante et pesante, aussi nous sommes ravis d’arriver enfin à New Orleans. Grace à Ursu nous localisons rapidement l’hôtel, nous posons les bagages et repartons aussitôt pour rendre les motos, avec un pincement au coeur, car c’est une grosse partie de notre voyage qui s’achève aujourd’hui.

Demain matin, nous récupérons la voiture, et allons nous transformer ainsi en véritable touristes...

A demain donc, je vais me coucher au moment où certains d’entre vous se lèvent, ici il est 00h34 donc 7h34 en France!

Phil

mardi 1 juin 2010

Etape Memphis - Vicksburg - Port Gibson

Lundi 31/05, l’étape du jour nous emmène dans l’état du Missisipi pour une distance d’environ 400 kms. Après un frugal breakfast typiquement américain (oeufs, taosts, bacon, potatoes), nous prenons la route vers 10h00.

La banlieue de Memphis est pauvre. Les rues sont désertes, beaucoup d’immeubles abandonnés se délabrent avec le temps et deviennent des ruines qui donnent à ces quartiers des allures de vlle fantôme.

Bien vite nous retrouvons la fameuse route du blues 61, et ce sont , sous un soleil de plomb, des kms de routes interminables, droites, bordées d’immenses champs de céréales à perte de vue. Au bout de quelques kms l’inévitable se produit: la pluie! Elle ne dure pas bien longtemps, mais elle est suffisamment dense pour nous obliger à enfiler nos combinaisons.

Nous déjeunons à Jackson dans un self où pour 10 $ vous avez droit à un buffet à gogos. Durant ce repas, un black athlétique arrive dans sa décapotable modèle « old style années 70 » et offre à Arnaud, qui fumait à l’extèrieur, un tee-shirt Harley en guise de bienvenue. Pour le remercier, Arnaud lui offre à son tour un de ses tee-shirt. Je ne sais pas comment ça va finir, mais il semble que Arnaud ait un véritable succés auprès des américains..LOL! ça fait quand même le 2ème tee shirt qu’il récupère en remplacement de 2 des siens...

Bien évidemment pas question de partir sans la photo traditionnelle...une fois avec les mecs, une fois avec les nanas...ce qu’il apprécia.

Peu de temps après nous faisons une halte dans la campagne auprès de quelques maisons en bois du terroir afin de permettre à Véro de se détendre, lorsqu’une voiture conduite par une femme âgée s’arrête à notre hauteur et engage la conversation avec notre guide Ursula. Cette dame est ravie de savoir que nous sommes français, et ayant sympathisé avec Ursula, lui offre un livre sur la région que sa propre mère a écrit.

Nous faisons tout au long de notre chemin des rencontres extraordinaires et inoubliables.

Nous poursuivons notre route et le paysage change à nouveau, les grandes routes interminables chauffées à blanc par le soleil laissent place à des routes plus valonnées avec un paysage verdoyant. Les plans d’eau avec les arbres morts au milieu commencent à apparaître...

Nous décidons de pousser jusqu’à Port Gibson où nous dénichons un motel de bord de route comme on les imagine. Après une bonne douche, et un repos, nous décidons d’aller dîner, sans Eric car il s’est à nouveau mis au régime, à quelques centaine de mètre du motel, chez un Chinois, seul restaurant ouvert aujourd’hui dans le coin, car tout est fermé du fait de la fête de l’indépendance.

Voilà, sur ce je vais me coucher, car je n’en peux plus! A demain...

Phil



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Graceland

Aujourd’hui visite de Graceland. départ vers 9 heures ; au passage nous nous arrêtons au premier studio d’enregistrement d’Elvis : le SUN ; devant attendre plus d’une heure pour sa visite commentée, nous décidons d’y revenir après Gaceland .Le prix d’entrée est de 34$ par personne sauf pour MIMI qui bénéficie d’une petite remise.

Nous avons pu visiter la villa d’Elvis, du moins que le rez de chaussée (le 1 er étage étant son appartement privé lequel par respect n’est pas visitable) à l’aide d’un audio phone en français . Nous avons vu ses différents salons dont un avec 2 magnifiques vitraux représentant des paons: puis une salle de billard toute habillée de tenture de 400 métres de tissus chamarés dans les rouges et bleus ; la chambre des parents d’Elvis (Elvis avait un culte de la famille trés fort , il leur avait promis de leur offrir cela dés ses 22 ans ). un salon ou il aimait reçevoir ses amis dans un bois trés brun , les bras des fauteuils étant des tétes de dragon ; un des murs était habillés de briques avec une cascade . Un autre salon ou il y avait 3 téléviseurs car Elvis voulait voir les 3 chaines comme le président de l’époque :là apparait sur un des murs entre 2 vagues jaunes et bleues un signe en forme d’éclair surmonté des lettres ATC.

Puis nous sommes passés sous le porche ou Elvis garait ses voitures . Nous avons vu son stand de tir . On nous a raconté qu’il aimait faire des courses de voitures de golf avec ses copains ; il arrivait qu’il sorte faire ses courses sur l ‘avenue longeant la propriétée (celle çi ayant une superficie de 10 hectares ?? ).Nous avons parcouru des couloirs dont les murs étaient tapissés de tous ses disques d’or et d’argent et différents trophées (il a qu’en meme depasser le millards d’albums) . Elvis était trés généreux et donnait beaucoup aux oeuvres caritatives locales ; et il donnait facilement des sommes importantes à ses amis en cas de besoins. Puis il eut une passion enorme pour les chevaux . Les écuries ont été transformées pour recueillir encore toute une collection de disques d’or, d’argent et de platine, ainsi que differents costumes de scénes .Nous avons pu voir le costume de son mariage avec Prescilia avec qui il a divorcé en restant entrés bons termes .

Puis nous avons pu voir les tombes d’Elvis et de ses parents . Le succés d’Elvis est du en grande partie par le fait que c’était une entreprise familiale gérée par le pére. Nous avons ensuite visité une galerie des différents films qu’il a tourné . La visite de l’intérieur de son avion personnel (à 4 reacteurs ) etait assez impressionnante : il avait egalement un Jet prive . De là nous avons visité un petit magasin HD et nous avons fait l’impasse des ateliers de coutures . La mauvaise impression laissée : c’est que c’est un véritable buisness ou l’ on sollicite les visiteurs à acheter : ce n’est plus Graceland, mais Dysney Land!

Eric

Je reprends la plume, si j’ose dire, pour vous emmener au studio SUN où Elvis a enregistré ses premiers tubes. D’autres artistes prestigieux ont également débuté là-bas: Jerry Lew Lewis, Carl Perkins, Johnny Cash...

Et là nous sommes entrés dans un lieu culte où rien n’a changé, tout est resté volontairement en l’état, malgré qu’il soit toujours utilisé à l’heure par des artistes. Une impression d’être vraiment sur les traces d’Elvis, avec un guide qui nous a fait revivre les heures de gloire de ce studio. Cette visite restera inoubliable, et compense bien largement notre déception du « parc d’attraction » de Graceland. Et c’est bien dommage, car je dois dire avoir été ému pendant la visite de la villa, en me disant « mon pauvre Elvis, tu dois te retourner dans ta tombe en voyant ce qu’est devenu ta propriété ».

Puis après un passage à l’hôtel pour se rafraichir, et se changer, nous avons repris le chemin de Memphis, direction Beale Street comme la veille, mais cette fois Eric nous accompagne.

Phil

1ère soirée à Memphis

Pour notre première soirée à Memphis, Eric nous abandonne, vaincu par la fatigue, c’est donc sans lui que nous prenons le chemin du centre de Memphis.

Après avoir garé et attaché les motos en lieu sur, nous nous dirigeons vers Beale Street, lieu magique de Memphis où se siuent tous les bars et restaurants musicaux branchés de la ville. Il faut dire aussi que c’est le weekend des 75 ans de la naissance du King, et que en même temps c’est la fête de l’indépendance.

C’est trés impressionnant, il y a des policiers partout, la rue qui est longue de 2 à 3 kms est barrée à ses 2 extrémités, et pour y accéder, nous sommes fouillés et les sacs contrôlés.

La surveillance est omniprésente, et, malgré une foule digne de la féria de Nîmes, il n’y a aucun débordement, et on se sent en sécurité. En fait les gens sont là pour la fête, la musique et la bouffe. Par contre faire la fête peut coûter cher car toul les accés sont payants, et apparemment les services de sécurité sont incorruptibles. Enfin nous trouvons un restaurant av ec un groupe de blues-jazy cool. Par contre la seule table disponible est à proximité de la scène, et il est difficile de s’entendre. Enfin on peut déguster une vrai viande avec une vrai purée, des vrais haricots verts, des vrais frites « Frenchies », bref un repas qu’on attendait depuis longtemps, car il faut dire que les ricains ne sont pas fortiches en cuisine...

Avant de rentrer, et pour profiter de l’ambiance à son paroxisme dans tous les établissements, on entre dans un bar musical dont la sécurité nous a ouvert gracieusement les portes, pour siroter un dernier Jack devant un groupe de Rock.

Epuisé par la journée et la soirée, nous rentrons gentiment, car demain c’est la visite de Graceland!

Phil

lundi 31 mai 2010

Etape Nashville - Memphis

Ce matin, 29 mai, la première semaine s’achève déja, sur notre route (sur la route de Memphis...) Véro, comme d’hab, a repérer la concession HD, et bien évidemment Mimi s’est levée de son siège en applaudissant, ce qui voulait dire: « Allons y gaiement! » (Mimi étant contaminé par la fièvre acheteuse...Lol!). Nous ne garderons pas un grand souvenir de cette concession dont l’accueil nous a quelque peu déçu au regard des concessions précédentes. Mais c’est pas trés grave tout ça, car les filles y ont quand même laissé quelques dollars!

Nous sommes à présent sur la route 40, une route vallonnée magnifiquement et interminablement droite et longue, bordée de forêts, mais heureusement limitée à 70 miles/heure, soit environ 130 kms/heure. Pas grand chose à ajouter, sinon quelques biches malheureusement écrasées et énormément d’éclats de pneus de poids lourds sur les bas cotés. Il faut dire que la vitesse n’est apparemment pas plus limitée pour les camions que pour les véhicules légers. Donc c’est un peu la course...

Comme chaque jour, nous avons l’impression de nous arrêter faire le plein d’essence trop fréquemment, mais cela vient peut être du fait que les stations ne sont pas aussi nombreuses qu’en France. Afin de nous approcher le plus possible de Memphis, nous avons roulé jusqu’à Jackson, et avons déjeuner vers 14h dans une cafétéria avec buffet à volonté.

Enfin nous arrivons à Memphis, il est 16h30, et il faut maintenant trouvé un hôtel, et ça va être sportif car ce weekend est la célébration des 75 ans du King, et en plus c’était la fête de la fin de la guerre de cessession.

Tous les hôtels du centre sont complets, mais par chance, nous en avons trouvé un excentré, mais à proximité du fameux studio d’enregistrement SUN où Elvis et beaucoup d’autres monuments du rock et du blues ont enregistré leur premier album (Johnny Cash, Jerry Lew Lewis, Ike Turner, Carl Perkins...), dont nous avons partagé les 2 dernieres chambres. Heureusement les chambres d’hôtel contiennent régulièrement 2 grands lits.

Voilà pour aujourd’hui...

Phil




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